Andrea’s JoaillerieDi

Publié le par tendance-joaillerie.over-blog.com

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Depuis le Rocher, Christine Diago et Hervé Sirioux déploient leurs univers de créations joaillières. A découvrir….

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Lorsqu’on réalise un nouveau bijou, on a, bien sûr, une idée très précise du résultat final mais sans aucune certitude. Il demeure toujours une part de mystère. Parfois, une gentille fée se fait notre complice et nous donne un petit coup de pouce en insufflant à notre création un pouvoir particulier, indescriptible, qui lui donne une âme et nous laisse sans voix. C’est ce « petit plus » qu’on ne peut expliquer.

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C’est magique, ça fait partie du rêve, et c’est bien la preuve que bijou rime avec… indispensable. A l’image des « chouchous » d’Andrea’s Joaillerie pour lesquels nous avons aussi craqué. Entre la bague « Miss Miss » aux airs malicieux et la bague « Mon Ange » sertie de diamants, notre cœur balance…

 

 

http://andreasjoaillerie.com

 

Andrea’s Joaillerie, l’histoire

 

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S’il faut remonter aux prémices de l’aventure, 1999 est une date à retenir.

Andrea’s Joaillerie c’est la rencontre d’Hervé Sirioux et de Chistine Diago, créatrice. Ensemble ils vont s’installer à Gordes et lancer la marque à la fin des années 90. Tout doucement ils  vont construire leur histoire… Christine Diago qui vient du milieu de l’art impose sa vision d’artiste à la joaillerie qu’elle imagine. Ses premières armes elle  les a faites en suivant des cours particuliers et au gré des  « rencontres de la vie ». Ses envies et son style se dessinent peu à peu, de la haute joaillerie qui peut changer la vie d’une femme.
Très vite, le bouche à oreille fonctionne, et Andrea’s Joaillerie développe sa clientèle au Canada, Etats Unis ou encore en Angleterre. Toutes les pièces sont faites sur-mesure dans des ateliers français et selon un savoir-faire digne des plus grands.
Ce n’est qu’une fois la renommée bien établie, que le duo s’est installé à Monaco. Dans une boutique avec pignon sur rue la façon de travailler devient moins intime mais s’ouvre à une clientèle plus libre et amatrice d’art.
Nous ne pouvons leur souhaiter que le meilleur pour la suite de leur histoire…

Nous avons rencontré Christine Diago qui nous a parlé d’Andrea’s Joaillerie

 

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Ecouter parler Christine Diago de son aventure, son histoire et son rapport au bijou, est un joli moment. On comprend avec elle que le lien qui unit une femme à son bijou est magique.

Racontez nous un peu les débuts…
L’aventure a commencé à l’aube du 21Ëme siècle et s’est construite en partie par le bouche à oreille. Entre Gordes dans le Luberon et Londres la clientèle d’Andrea’s Joaillerie s’est constituée fidèle et exigeante. Très vite la marque est devenue synonyme d’intimité et de confiance.

Puis, en 2009 ANDREA'S s'installe à Monaco. Désormais c’est dans une boutique écrin que les créations se dévoilent où le grand public peut accéder facilement. Cette nouvelle implantation a changé quelques petites choses: la clientèle est devenue pointue, amatrice, libre et non conventionnelle.

 

Une femme, un bijou?
Vous savez, un bijou doit être comme une seconde peau pour celle qui le porte. Il doit couler de source, une fois une bague passée à votre doigt, rien ne doit être plus naturel. On sait tout de suite quand c'est le bon!



Comment imaginez vous alors un bijou?
Il n'a pas besoin d'être spectaculaire car il doit coller à la personne et pouvoir se porter tous les jours. Les bijoux sont là pour nous rendre plus belles, plus fortes...en toutes circonstances.



A quel point la relation avec la cliente est importante ?
C’est un véritable échange.  Aujourd’hui j’ai atteint un tel degré de confiance avec certaines clientes, qu’elles me donnent beaucoup de liberté et ont envie de se laisser surprendre.



Cela doit être très agréable de travailler ainsi ?
En effet, oui.C'est un privilège...



Le lien qui unit une femme à  son bijou relève de l’intime..
Disons aussi qu’un bijou accompagne les moments de nos vies. On pourrait presque le comparer à une nouvelle coupe de cheveux. Il apporte du réconfort et révèle une part de féminité parfois inconnue. C’est un plaisir indispensable!



Comment trouvez vous l’inspiration?
Je ne la cherche pas forcément. Elle arrive toujours quand je m’y attend le moins, et c’est ce que j’aime. Cependant New York est une ville qui m’inspire énormément. Surtout son énergie, tout va tellement vite dans cette ville.



Avez vous une clientèle type?
Non pas particulièrement. Toutefois beaucoup de femmes audacieuses, indépendantes, libres...
 


Propos recueillis par Yael Haim

 

Publié dans Joaillerie

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